Exposición de Hiperrealismo de Ron Mueck

Esta expresión artística es muy llamativa, ya que despierta los sentidos con figuras que superan la imaginación donde no es necesario tener un conocimiento de apreciación artística basto para admirarla. La obra en sí da de que hablar con figuras prominentes y sus rostros llenos de sentimientos encontrados; como la mujer embarazada que con su mano en su cara observa su preocupación y al estar enfrente a ella se siente uno diminuto ante su gran tamaño como si uno volviera a la infancia y no lo comprendiera: “¿qué tiene esa señora?”

Otra figura que para nosotros es muy común es la del pollo colgando en diversos lugares de México; es muy normal ver pollerías en la calle o en las esquinas que nos ofrecen estos animales para el consumo humano, pero para el autor la primera vez que vio el procesamiento del pollo el impacto visual fue muy brutal y esto lo llevó representar esta idea, por qué, pues, en los países industrializados sólo conocen los alimentos empacados. Nunca se ve cuando el animal pasa por toda la organización previa para su destino final, he aquí el meollo del asunto.

Como el bebe en la pared, resulta que la raza humana en sus primeras etapas es un ser muy indefenso que necesita protección, lo cual nuestro cerebro al ver un bebé o un niño pequeño genera señales de protegerlo. Otra figura algo polémica es la del joven negro descalzo sangrando del costado derecho, donde está observando la herida, aquí viene a la mente una escena de violencia de las pandillas de Estados Unidos. Puede ser la primera idea que podemos pensar por el estilo de ropa que usa pantalón de mezclilla holgado, bóxer afuera, y camiseta blanca, nos lleva a pensar ¿quién es?, ¿qué le paso? y ¿dónde ocurrió? Eso es parte de la magia porque podemos pensar que es una imagen gringa cotidiana pero no sabemos si es inglés, australiano, jamaiquino o africano.

Para terminar con esta breve reseña a manera de homenaje póstumo de un amigo de Ron Mueck que tenían comunicación constante cont el autor le envía una imagen de sus actividades y este le envía unas fotos de sus vacaciones en turno, cuando el autor recibe la correspondencia se entera que su amigo ha muerto quedando estas fotos como último recuerdo de él, la escultura que plasma esta imagen es la de un hombre flotando en una alberca en un colchón inflable de bermudas y lentes de sol donde el color azul en la pared da el efecto de tranquilidad y calma de la escena.


Arturo Saldaña Sangabriel
epsilon814@hotmail.com

 

Ron Mueck

 

L’Hyperréalisme de Ron Mueck.

 

Cette expression artistique est vraiment frappant en dépassant l’imagination à partir des formes qui éveillent les sens sans que le public ait besoin d’une ample connaissance d’appreciation artistique pour les admirer. Donc, cette oeuvre se caractérise pour présenter des formes proéminentes et des visages avec pleine des sentiments mélês. Par exemple, dans l’image de la femme enceinte avec la main sur le visage, on observe la préoccupation de la dame et lorsqu’on est en face d’elle on se sente petit devant sa grandeur, comme si on retournasse à l’infance, et par conséquent on n’est pas capable de lui comprendre. Qu’est ce qu’il arrive à la dame?

 

Aussi on trouve, pour nous les mexicains, une image très commun : le poulet en pendant dans plusieurs lieux du Mexique. Il est très commun de voir des “pollerías”[1] en offrant ces volailles pour la cosommation de l’homme dans chaque rue ou chaque coin du pays. Cette image a choqué l’auteur d’une manière brutale, essentiellemnet parce que cela a été la première fois qu’il a vu le traitement du poulet. C’est pour cela qu’il a représenté de cette manière son idée. Mais, pour quoi? Bon, dans les pays indistrualisés, on est capable seulement de voir les aliments déjà emballés et on ne peut jamais nous rendre compte de tout le processus préalable en route de son destin final. C’est le coeur du problème.

 

Ensuite on a l’image du bébé qui est sur le mur et qui montre la vulnérabilité et la nécessité de protection que les êtres humains ont dans leurs premières périodes de vie, ainsi, si on voit cette sculpture, on a désespérément besoin de protéger le petit.

 

Une autre image polémique dans cette exposisiton, c’est celle-là du jeune homme brun aux pieds nus, saignant du côté droit en même temps qu’il observe sa propre blessure. Et cela nous fait penser, peut être, à une scène  de violence des bandits des États-Unis, mais c’est seulement une idée par suite de la façon d’habiller du jeune homme : jean ample, boxer en dehors et tee-shirt blanche. Et c’est qu’on pense : qui est lui? Qu’est-il donc arrivé? Où il lui est arrivé? Mais tout cela fait partie de la magie, puisqu’on peut penser qu’il s’agit d’une immage “gringa” ordinaire mais on ne sait pas vraiment si le jeune homme est Anglais, Australien, Jamaïquain, Africain.

 

Pour finir, on considère que l’auteur fait, d’une certaine manière, un hommage posthume à un ami avec qui lui était en contact fréquent. Son ami lui a envoyé des photos de ses récents vacances, mais en même temps que l’auteur recevait le courrier il a reçu aussi la nouvelle que son ami était mort, restant ces photos como le dernier souvenir de lui. L’esculpture qui montre cette image est un homme sur un matelas gonflable en flottant dans une piscine. Il porte des bermudes et des lunettes de soleil. Ainsi, la couleur blue dans le mur donne à la scène l’effet de tranquilité et calme.

Traduccion al frances
Isabel Zepeda
glinglo7@gmail.com